C’est une situation dans laquelle certains phénomènes perturbent le fonctionnement attendu du marché́ concurrentiel.

La pollution générée par l’activité́ de certains agents a des effets défavorables sur le bien-être d’un ou de plusieurs autres agents (maladies, réchauffement climatique), sans contrepartie monétaire.

• Par des réglementations et subventions (qui récompensent les agents générant des externalités positives)
• Par des taxes (qui dissuadent les comportements provoquant des externalités négatives)

Un bien commun est rival et non excluable. Exemple : les ressources halieutiques.

Un bien collectif est non rival et non excluable.
Exemple : l’éclairage public.

Aucun producteur privé ne peut faire payer les consommateurs pour ces biens non rivaux et non excluables. Aucun n’a donc d’intérêt à les produire.

Ils sont produits par les pouvoirs publics et financés grâce à l’impôt.

C’est le risque de surexploitation par le marché́, voire de disparition, de ces biens car ils sont rivaux et non excluables.

Par la gestion et la production des biens communs pour éviter que la recherche du profit des organisations privées ne nuise à ces biens.

Le retrait du marché de certains agents, offreurs ou demandeurs, faute d’informations suffisantes sur les produits échangés du fait d’une asymétrie d’information.

Par la mise en place de systèmes de contrôle permettant une meilleure information des acteurs du marché, et donc des conditions d’échange plus transparentes.
Exemple : le contrôle technique pour les véhicules.

Une situation dans laquelle, après la signature d’un contrat, une des parties modifie son comportement au détriment d’une autre.
Exemple : un individu prenant plus de risques car il est bien couvert par son assurance.

• Des dispositifs permettant de mieux connaître le comportement des individus
• Des sanctions contre ceux qui prennent des risques trop importants